Bâtiments publics à énergie positive ?
Un bâtiment à énergie favorable, qu'est-ce que c'est ?
Un bâtiment à énergie favorable (ou BEPOS) est un bâtiment qui fabrique plus en énergie qu'il en consomme. Dans ce genre de réalisation les toits, les murs ou également toujours les fenêtres ont la liberté d'être mis à profit pour redonner de la localité ou fabriquer du courant. Dans l'hexagone ces immeubles démarrent à se dévoiler dans le pays. On en souhaite à présent des centaines en France. La fabrication de cet excédent est faisable avec des principes constructifs avec de surcroît par l'attitude des utilisateurs qui prennent en charge de manière efficiente et calculée les consommations des équipements équipement ménager, informatique,… Cette énergie excédentaire serait en mesure de donc après être employée à des objectifs plus plusieurs les unes que les autres.
Un pas supplémentaire vers la transition énergétique
Ce que souhaite Ségolène Royal c'est que tout nouveau bâtiment public soit un BEPOS. Cette nouvelle règle pourrait de même s'appliquer aux logements sociaux parce que ils restent subventionnés par l'Etat. Dans une volonté sur des échéances plus longues, la ordure de l'Ecologie et de l'Energie a également émis la volonté que ce paramètre soit également applicable aux derniers constructions privés. Ce discours de Ségolène Royal s'inscrit dans une information pas réellement rassurante pour les secteurs de talent de son ministère. En effet, le dernier compte rendu de la société intergouvernemental sur le développement de climat (GIEC) constitué de spécialistes de l'ONU dresse des estimations plus qu'alarmantes. De plus, le ministre de l'Ecologie a diffusé, samedi 6 septembre 2014, un compte rendu tout autant alarmant précisant que les températures en France sont susceptibles d'être plus bouillante et que la nation sera plus pluvieux à l'horizon 2100. Cette disposition vient s'enregistrer dans le futur amendement sur la transition énergétique qui est un des programmes les plus phares du quinquennat de Le président de la république. Il sera parlé au mois d'octobre au parlement et a pour but de baisser les émissions de gaz à effet de serre de 30 % d'ici 2030, de réduire l'absorption définitive en énergie de 50% en 2050 comparativement à 2012, de parvenir à 32 % en énergie renouvelable en 2030 et finalement de diminuer la tranche du nucléaire à 50 % pour 2025. « Nous avons pas uniquement les ressources de la transition énergétique avec de surcroit le devoir parce que c'est un levier de venue de crise, en relançant des marchés tel que le bâtiment et les services publics » a enfoncé le clou Ségolène Royal. Le désir des autorités de changer et de préciser à nouveau notre façon de consommer l'énergie ne fait à présent plus aucun doute. Nous ne pouvons plus qu'espérer que le futur amendement sur la transition énergétique soit pris sous mon aile ensuite respecté… .